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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 12:57

Que pensez de nos politiques, ils deviennent de plus en plus idiots

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3 septembre 2013 2 03 /09 /septembre /2013 15:51
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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 01:13

Voici quelque citation que j'adore, certaine sont connu, d'autres sont de moi :

 

La bêtise n'existe que si on la veut, seul ceux qui se dise plus fort sont les plus faible.

 

Il n'existe pas de victoire total, il n'y a que victoire arrangée.

 

La victoire s'obtient par l'alliance de l'intelligence et de la force, jamais la victoire ne s'obtient avec une seul de ses 2 choses.

 

Tout ce qui est lancée doit forcément retombé.

 

L'histoire est écrite par les vainqueurs, mais que serait notre histoire si nous avions les deux versions?

 

Prudence et réflexion sont les deux pilier d'un stratège.

 

La stratégie établie ne correspond jamais à la réalité de la bataille.

 

Il n'y a que de petites victoires, les grandes bataille ne sont gagnée qu'avec ces petites victoire.

 

Un Homme doit savoir où s’arrête sa libérté sinon il devient un tyran. 

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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 17:49

Voici d'autre conseil pour avoir une bonne strategie dans un jeu video STR

 

1) Si il existe un editeur de carte, utiliser le toujour pour simuler la strategie que vous employer en étant le plus impartial dans le choix de vos force et celle de l'ennemie, envisager le plus de situation et trouver la riposte à celle-ci.

 

2) Comme dit dans le precedent article, ne donner que les objectifs finale de votre strategie à votre alliées sinon celui-ci pourra si il envisage un changement d'alliance de donner votre strategie en entier.

 

3) Dans le cas, où vous ne trouvier pas d'alliées, faite vous le moins present possible et developper vous, je ne le repeterais pas assez, une guerre de gagner est une guerre d'abord de l'ameliorations. Le fait d'avoir le meilleur armement peux vous donnez un avantage non negligable sur le terrain.

 

4) Si vous voulez absolument combattre même sans alliées, proposer vos service comme mercenaire aux deux camp mais vous devrez absolument cacher que vous fournirez des troupes pour une battaille. si l'unité est disponible utiliser toujours un espion pour connaitre le niveau de vos ennemis.

 

5) Quand la battaille commencera entre les deux belligerants, ordonner a vos troupes de garder la position pour quelle n'attaque que si elle sont attaquer car vous pourrer alors les utilisers pour infiltrer et controler les villes de vos ennemis

 

6) Un dernier conseil, toujours dans le cas où vous n'avez pas d'alliées, mettez toujour votre statue diplomatique sur neutre ou annoncer, dans le cas où il n'y a pas de système de diplomatie, que vous serez neutre mais que vous fournirez des ressource ou des troupes, sans que cela nuise à votre économie ou votre armée, aux deux ennemies 

 

La strategie en utilisant la neutralité et le système de mercenaire est toujours meilleurs si vous senter que vous serez en position de faiblesse, et puis une strategie jouant sur les deux tableaux vous donnera une reputation de stratege prudent mais rusée

 

voila les quelques conseil en plus pour devenir un bon stratege dans les jeux video type STR, et comme à la fin du precedent article je vous invite à me laisser vos propre strategie et vos propres critiques sur les conseils que je vous donne, et surtout si vous avez d'autre conseils issue de vos reflexions personnelle, ce sera avec plaisir que je l'ai incluerai dans mes articles pour en faire beneficier le plus possible

Pour finir, je vous souhaite de glorieuse victoire et je vous direz "La victoire à la Pyrrhus ne mene seulement qu'a la destruction de vos forces et cela contrarira vos chance de succés sur le prochain champ de bataille."

 

P.S. : si vous souhaiter me faire part de vos strategie developper par vous, je serai ravis de vous donner mon avis. Envoyer les à cette adresse : dedale13@hotmail.com

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14 octobre 2012 7 14 /10 /octobre /2012 05:18

Voici quelques conseil perso pour surprendre vos adversaire dans n'importe quel jeu de strategie

 

Premier conseil : ne vous lancer pas dans une attaque directe, cela vous coutera des ressources et surtout vous ne pourrez pas vous concentrez sur le developpement

 

Deuxième conseil : une bonne économie vous permettra de gagner avec très peu de force car vous aurez les moyens de lancée non pas une grande armée mais de petit raid qui affaiblirons votre ennemie

 

Troisième conseil : rechercher toujour des alliées, il peuvent étre utile pour stabiliser ou bloquer un temps l'adversaire mais attention agisser de concert avec lui et ne chercher pas à vous en defaire car sinon vous ne gagnerai jamais

 

Quatrième conseil : utiliser intelligement vos unité ne les lancé pas à toute vitesse dans la bataille, placer les dans cette ordre : -Infanterie en première ligne

  -Unité à portée (arti, archer, etc..) derrière si possible en hauteur pour beneficier d'un bonus de dégats

  -Unité montée (cavalerie, tank, etc...) sur l'un de vos flanc si possible camouflée derrière un relief ou une         foret

  Après les avoirs placer, envoyer les comme suit : infanterie couvert par unitée a portée puis une fois                   avoir reduit les forces adverse, finisser les en envoyant vos unité montée

Cinquième conseil : la strategie de j'ai la plus grosse armée ne fonctionnera que si vous remplissez les 4 premières condition

 

Sixième conseil : ne devoiler jamais votre strategie complete à votre alliée, cela pourrai vous porter prejudice

 

Septième conseil : je vous donne une citation : garde tes amis auprès de toi mais garde tes ennemies encore plus près, traduction : ne fais confiance qu'a ton intelligence pour triompher car meme si tu a des alliées il vaut mieux se mefier d'eux car il savent comment te battre

 

voila je terminerai sur sa, si vous avez d'autre conseil a ajouter laissez les moi en commentaire je les incluerais dans cette article 

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13 avril 2010 2 13 /04 /avril /2010 18:48

Le château de Versailles fut la résidence des rois de France Louis XIV, Louis XV et Louis XVI. Résidence royale, ce monument compte parmi les plus remarquables de France et du monde tant par sa beauté que par les événements dont il fut le théâtre. Le roi et la cour y résident de façon permanente du 6 mai 1682 au 6 octobre 1789 à l'exception des quelques années de la Régence. Il est situé au sud-ouest de Paris, dans la ville de Versailles en France. Ce château est devenu un symbole de l'apogée de la royauté française. La grandeur des lieux se voulait à l'image de celle des rois successifs.

Le château est constitué d'une succession d'éléments ayant une harmonie architecturale. Il s'étale sur 67 000 m² et comprend plus de 2 000 pièces.

Le parc du château de Versailles s'étend sur 815 ha (8 000 avant la Révolution) dont 93 ha de jardins. Il comprend de nombreux éléments dont le petit et le grand Trianon, le hameau de la Reine, le grand et le petit Canal, une ménagerie, une orangerie et la pièce d'eau des Suisses*

Le château de Versailles est géré depuis 1995 par l’établissement public du musée et du domaine National de Versailles, dont le président actuel est Jean-Jacques Aillagon, ancien ministre de la Culture. Cet établissement public emploie 900 personnes, dont 400 affectés à la surveillance. Il reçoit 3 millions de visiteurs par an dans le château et 7 millions dans le parc. 70% des visiteurs sont des étrangers.

 


Le château de Versailles compte 700 pièces, 2 513 fenêtres, 352 cheminées (1 252 sous l’ancien régime), 67 escaliers, 483 miroirs (répartis dans la Grande galerie, le salon de la Guerre et le salon de la Paix) et 13 hectares de toitures. La superficie totale est de 67 121 m² dont 50 000 sont ouverts au public. Le château compte aussi 51 210 m² de planchers.Il comprend trois châteaux : Versailles, Grand Trianon et Petit Trianon, ainsi que plusieurs bâtiments situés en ville : grande etpetite écuries, Hôtel des Menus Plaisirs, Salle du Jeu de paume, le Grand Commun.

 

Le parc couvre 800 hectares, dont 300 ha de forêt, et deux jardins à la française : le Petit Parc (80 ha) et le Trianon (50 ha). Il compte 20 km de murs de clôture et 42 km d’allées, ainsi que 372 statues.

Sa construction au temps de Louis XIV nécessita des milliers d'ouvriers (un maximum de 36 000 sur une année). Il coûta un peu moins de 100 millions de livres. Cette dépense, très importante, est à mettre en perspective avec le coût d'une campagne militaire de l'époque, beaucoup plus onéreuse.

 

C'est en 1038 qu'apparaît la première mention de Versailles, dans une charte de l’abbaye Saint-Père de Chartres. Hugo de Versaillis est l’un des signataires. Auxe siècle, des moines défrichent le terrain et fondent l’église prieuré de Saint-Julien.

En 1429, deux seigneurs, Guy et Pierre de Versailles, sont mêlés à la vie de Jeanne d’Arc. Pierre était à Bourges, quand on examina la Pucelle; quant à Guy, chanoine de Tours, il participa au procès de Jeanne d’Arc. À la fin de la guerre de Cent Ans, le petit bourg se présentait dans un triste état: ses maisons pillées et dévastées sont abandonnées, et le château est en ruine. C’est la famille de Soisy qui relève les bâtiments détruits, composés d’un corps de logis principal et d’une aile en retour, précédés d’un portail encadré de deux tourelles.

Le nom d’un petit bourg, Versaille-aux-bourg-de-Galie, apparaît dans un texte daté de 1472. Les seigneurs de Versailles relevaient directement du Roi. Leur modeste château dominant l’église et le village se dressait sur la pente méridionale de la butte sur laquelle sera construit le futur château.

En 1475, Gilles de Versailles, seigneur de Versailles, cède ses droits sur Trianon à l’abbé de Saint-Germain. L’acte de vente est la première mention de ce nom. Trianon était un village acheté puis détruit par Louis XI dans le but de construire sur ces nouvelles terres du domaine royal une maison à collationner. Cherchant à fuir en famille le protocole trop pesant de Paris, le roi était à Trianon plus proche des siens. Premier caprice royal de Versailles, Trianon, comme plus tard Marly, demeure un lieu de détente, loin de l’étiquette et des fatigues du pouvoir.

En 1561, le domaine est vendu à Martial de Loménie, secrétaire des finances de Charles IX, qui l’agrandit pour atteindre 150 hectares.

En 1572 : le 24 août, Loménie est assassiné lors de la nuit de la Saint-Barthélemy. L’Estoile rapporte dans ses Mémoires que la reine Catherine de Médicis « fit étrangler, dans l’intérêt du comte de Retz, pour lui faire avoir le château de Versailles, le secrétaire d’État Loménie, qui en était possesseur. » Ce crime n’est peut-être pas authentique, mais il n’est pas invraisemblable.

L'année suivante, Albert de Gondi (baron de Marly), comte de Retz, un des Florentins qui accompagnent Catherine de Médicis en France, devient propriétaire du château et de la seigneurie de Versailles en rachetant le domaine pour 35 000 livres.

En 1589, un mois avant qu’il ne devienne roi de France, le roi de Navarre séjourne à Versailles. Revenant de Blois, il s’y arrête du 7 au 9 juillet et est reçu par Albert de Gondi ; il y retourne en 1604 et 1609. Entre temps, en 1607, le dauphin, qui deviendra Louis XIII, fait sa première chasse à Versailles.

En 1623, Louis XIII, père de Louis XIV, fit construire au milieu des forêts et au sommet d’une butte cernée par des marais insalubres, un modeste logis en brique, pierre et ardoise. S’il constituait son rendez-vous de chasse favori, il ne formait pourtant qu’une construction rustique et purement utilitaire. La disposition de ses pavillons, et des fossés qui l’entouraient, rappelait encore certaines constructions féodales.

Louis XIII fit bâtir cette nouvelle habitation sur un terrain qu’il acheta à Jean de Soisy, dont la famille était propriétaire depuis lexive siècle. Dans sa petite demeure, Louis XIII recevait de temps à autre sa mère Marie de Médicis et son épouse Anne d’Autriche. Elles ne faisaient qu’y passer sans jamais y coucher .

Le premier "château" de Versailles s’élevait au fond de l’actuelle cour de marbre. Le corps de logis principal mesurait 24 mètres de long sur six de profondeur et se limitait de chaque côté à deux ailes basses. L’appartement du roi comprenait une petite galerie où était accroché un tableau représentant le siège de La Rochelle. Puis, venaient quatre pièces dont les murs étaient couverts de tapisseries. La chambre du roi occupait le centre de l’édifice, emplacement qui correspondra par la suite avec celui du lit de Louis XIV.

Le 11 novembre 1630, le cardinal de Richelieu se rendit secrètement à Versailles dans le but de convaincre le roi qu’un complot était fomenté par la reine-mère. Cet évènement sera connu, plus tard, sous le nom de Journée des Dupes. Richelieu resta Premier ministre et la reine-Mère fut exilée.

En effectuant des fouilles dans la cour du Grand Commun, une équipe de l'Inrap a exhumé les vestiges du jeu de paume de Louis XIII6. La découverte est unique. Louis XIII, grand amateur du jeu de paume, ajouta vers 1630 à sa gentilhommière un court. Construit par Philibert Leroy, il se présente sous la forme d'un grand bâtiment rectangulaire de 33 m par 14 ; avec des murs latéraux de 1,30 m d'épaisseur. La présence de trois galeries indique qu'il s'agit d'un jeu "en dedans". Le sol est revêtu de carreaux en pierre de taille et probablement précédé d'un sol de carreaux en terre cuite. La maison du paumier (celui qui entretient, gère et anime la salle de jeu) a été aussi retrouvée.

1631-1634 Premier agrandissement [modifier]

Le 8 avril 1632, Louis XIII rachetait le domaine de Versailles à Jean-François de Gondi, archevêque de Paris, oncle du cardinal de Retz et héritier d’Albert. Voici un extrait de ce dernier contrat de vente :

« Le 8 avril 1632, fut présent l’illustrissime et révérendissime Jean-François de Gondi, archevêque de Paris, seigneur de Versailles, reconnoît avoir vendu, cédé et transporté... à Louis XIII, acceptant pour Sa Majesté, messire Charles de l’Aubespine, garde des sceaux et chancelier des ordres du roi, et messire Antoine Rusé, marquis d’Effiat, surintendant des finances, etc., la terre et seigneurie de Versailles, consistant en vieil château en ruine et une ferme de plusieurs édifices ; consistant ladite ferme en terres labourables, en prés, bois, châtaigneraies, étangs et autres dépendances ; haute, moyenne et basse justice... avec l’annexe de la grange Lessart, appartenances et dépendances d’icelle, sans aucune chose excepter, retenir, ni réserver par ledit sieur archevêque, de ce qu’il a possédé audit lieu de Versailles, et pour d’icelle terre et seigneurie de Versailles, et annexe de la grange Lessart, jouir par Sadite Majesté et ses successeurs rois, comme de choses appartenantes. Cette vente, cession et transport faits, aux charges et devoirs féodaux seulement, moyennant la somme de soixante-mille livres tournois, que ledit sieur archevêque reconnoît avoir reçues de Sadite Majesté, par les mains de..., en pièces de seize sous, de laquelle somme il se tient content, en quitte Sadite Majesté et tout autre, etc. »

— Architexture françoise, par Blondel, liv. VII, p. 93

En 1616, Albert de Gondi cède la seigneurie à son fils Jean-François de Gondi.

 

Le Roi ne fit l’acquisition de ce château que pour le démolir et ainsi étendre le panorama de la résidence royale. D’après la tradition, au sommet du plateau de Versailles, à la place même du château actuel, se dressait un moulin à vent : un meunier régnait où régna Louis XIV. Dans le même temps, le roi acheta de nouveaux terrains et étendit ses terres de chasse. Le pavillon bâti à la hâte sur les terres de Jean de Soisy, devenait étriqué.
Il paraitrait que les dessins originaux du palais et des jardins aient été inspirés de ceux du château des Ducs de Savoye de la Venaria (près de Turin), dont les projets italiens furent volés et portés à Paris une nuit. Le 26 mai débutèrent des travaux d’agrandissement qui furent dirigés par l’ingénieur-architecte Philibert Le Roy.

Les travaux furent achevés en 1634 et Louis XIII prit possession de ses nouveaux appartements.

À partir de 1636, le roi multiplia ses séjours et profita du confort de sa nouvelle maison ainsi que de l’agrément de ses jardins. Le nouveau château reçut sa première décoration florale ; les jardins furent agencés "à la française" par Boyceau et Menours, décorés d’arabesques et d’entrelacs.

En 1643, sentant sa mort approcher, Louis XIII déclara : « Si Dieu me rend la santé, sitôt mon dauphin en âge de monter à cheval et en âge de majorité je le mettrai à ma place, et me retirerai à Versailles avec quatre de nos pères pour m’entretenir de choses divines ». Le 14 mai, il rendit l’âme laissant le royaume à son fils, trop jeune pour gouverner. Versailles cesse alors d'être une résidence royale pendant presque dix-huit ans.

Au début de son règne, Louis XIV ne trouva aucune maison royale qui le satisfasse pleinement. Il habitaParis : le Palais-Royal, le Louvre, les Tuileries, il essaya de se fixer à Vincennes, et à Saint-Germain-en-Laye (au Château-Neuf et enfin au Château-Vieux), puis séjourna à Fontainebleau. Le roi compara les avantages et les inconvénients de ses châteaux, et pour pallier leurs incommodités, y entreprit d’importants travaux, mais dans aucun ne se sentit à l’aise.

En 1651, le Roi effectua sa première visite à Versailles. C’est alors que se produisit le coup de foudre. Le château de Versailles est né d’une méfiance de la part du jeune Louis XIV envers la capitale et sa population jugée difficilement contrôlable depuis l’épisode de la Fronde. Dans un premier temps, la demeure constitue seulement un refuge pour les amours du souverain. Il y emmène sa maîtresse Louise de La Vallière.

Le 25 octobre 1660, Louis XIV conduit à Versailles sa jeune épouse, la reine Marie-Thérèse.

L'année suivante, après la mort du cardinal de Mazarin, le roi prit personnellement le pouvoir. De nouveaux travaux d’agrandissement débutèrent. De 1661 à 1662, le roi y consacra un million cent mille livres. La résolution de Louis XIV d’ériger, en lieu et à la place du pavillon de chasse de son père, l'un des plus merveilleux palais de l’Europe déclencha des critiques sournoises parmi les courtisans. Il reste cependant des témoignages de ces secrètes oppositions; le lieu parut surtout mal choisi. « Versailles, lieu ingrat » dit Saint-Simon, « triste, sans vue, sans bois, sans eaux, sans terre, parce que tout est sable mouvant et marécage, sans air, par conséquent qui n’est pas bon. » Louis Le Vau, l’architecte du Château de Vaux-le-Vicomte, fut chargé de reconstruire les communs, Charles Errard et Noël Coypel commencèrent les travaux de décoration des appartements, tandis que Le Nôtre créa l’orangerie et la ménagerie. À cette époque, Versailles n’était qu’une résidence d’agrément, où des fêtes étaient données dans les jardins, le Louvre demeurant officiellement le palais royal. Dans une lettre restée célèbre, Colbert se plaignit d’ailleurs que Louis XIV délaissât le Louvre :

« Pendant le temps que [Votre Majesté] a dépensé de si grandes sommes en cette maison, elle a négligé le Louvre, qui est assurément le plus superbe palais qu’il y ait au monde. (…) Ô quelle pitié (…) que le plus grand roi fût mesuré à l’aune de Versailles ! »

Au mois de mai 1664, les premières festivités furent données au château. Placées sous le thème « Les Plaisirs de l’Isle Enchantée », elles se déroulèrent sur une huitaine de jours et s'inspiraient de deux poèmes épiques du xvie siècle : Roland furieux de l’Arioste et La Jérusalem délivrée (La Gerusalemme liberata, 1580) du Tasse. Molière présentera les Lettres françaises en créant la Princesse d'Élide et les trois premiers actes du Tartuffe. Le roi avait secrètement offert cette fête à Mademoiselle de La Vallière7.

Entre 1664 et 1666, Louis XIV fit aménager Versailles de façon à pouvoir y passer plusieurs jours avec son Conseil. Il décida de conserver le château initial bâti par Louis XIII, plus pour des raisons financières que sentimentales. Le Vau tripla la superficie du château, qui fut décoré avec beaucoup de luxe, en reprenant notamment le thème du soleil, omniprésent à Versailles. Les jardins, particulièrement appréciés par Louis XIV, virent leur superficie à nouveau accrue, et furent ornés de sculptures de Girardon et de Le Hongre.

En 1665, les premières statues sont installées dans le jardin et la grotte de Téthys construite. La première orangerie, la ménagerie et la grotte de Téthys ne résistèrent pas à l’épreuve du temps. Seuls le groupe d’« Apollon servi par les nymphes » et « Les chevaux du Soleil », (sculptés par Girardon, Regnaudin, Marsy et Tuby) rappellent la grotte de Téthys.

Deux ans plus tard, le creusement du Grand canal commença. Le Nôtre conçoit l’élargissement de l’allée centrale et prend en charge les jardins et les aménagements extérieurs. Il collabore avec les Francine, fils d’ingénieurs italiens, pour la construction des installations hydrauliques.

La deuxième fête aura lieu le 18 juillet 1668 ; elle permettra de faire connaître le nom de Versailles. Connue sous le terme de « Grand Divertissement Royal de Versailles », elle sera marquée par la création de Georges Dandin, de Molière, et des Fêtes de l’Amour et du Hasard, de Lully. Au cours des fêtes de 1664 et 1668, les courtisans mesurèrent l’incommodité du petit château car beaucoup ne trouvèrent pas de toit pour dormir. Le Roi, désireux d’agrandir celui-ci, confia cette tâche à Le Vau qui présenta plusieurs projets. Le premier prévoyait la destruction du château primitif et son remplacement par un palais à l’Italienne. Le deuxième projet proposait d’agrandir le château, côté jardin, par une enveloppe de pierre. Sur les conseils de Colbert, le Roi opta pour la seconde solution.

Entre 1678 et 1684, la galerie des Glaces, symbole de la puissance du monarque absolu fut élevée sur l’ancienne terrasse du château neuf. La maçonnerie sera terminée en 1684. La décoration fut confiée à l’équipe de Charles Le Brun. Depuis longtemps le roi rêvait de construire à Versailles une de ces grandes galeries alors très à la mode. Louis XIV avait sans doute apprécié les longues galeries des Tuileries, du Louvre et de Fontainebleau : lieux de passage et moyens de communication entre les appartements, elles se prêtaient par leurs surfaces aux grandes décorations. Le Roi avait fait installer la galerie d’Apollon au Louvre, et dans le palais qu’il avait élevé à Clagny, pour Madame de Montespan, la galerie de Mansart avait ébloui tous les visiteurs.

À Versailles, en fermant la terrasse de Le Vau par une longue façade dont les lignes architecturales reprennent celles du château neuf, Mansart construira la galerie des Glaces.
La grande galerie, limitée au nord par le salon de La Guerre et au sud par le salon de la Paix, s’étend sur 73 m de longueur; elle occupe toute la façade ouest du Château neuf et elle servira de passage entre les appartements du Roi et ceux de la Reine. La création de la galerie des Glaces va avoir une grande conséquence : l’appartement du roi est déporté dans le château vieux ; l’appartement du Soleil deviendra le « Grand Appartement » et sera utilisé pour les réceptions.

En 1678 
  • Pose des premières pierres de l’aile du Midi destinées à loger les courtisans. Mansart prévoyait la construction de deux immenses bâtiments, encadrant le château de Le Vau au nord et au sud, et en retrait par rapport à celui-ci.
  • La façade sur les jardins est remaniée.
  • Un très grand miroir au cadre en bronze doré ciselé par Cucci fut placé dans la chambre des bains.
  • Deux cuves allongées, en marbre blanc enrichi de bronzes dorés furent ajoutées dans le cabinet des bains.
  • Début des travaux de la pièce d’eau des Suisses et du bassin de Neptune, ainsi que les terrassements nécessaires au doublement du parterre du Midi et à la construction de la Nouvelle Orangerie.
  • En 1679 
    • La galerie des Glaces, le salon de la Guerre et de la Paix remplacent la terrasse et les cabinets du Roi et de la Reine.
    • Le bâtiment central, du côté de la Cour de marbre, est surmonté d’un étage. Une horloge encadrée de statues de Mars par Marsy et d’Hercule par Girardon ornent la nouvelle façade.
    • Orbay commença la construction d’un second escalier destiné à faire pendant à l’escalier des Ambassadeurs : L’escalier de la Reine. De l’escalier des Ambassadeurs, seules nous sont restées les deux portes qui ouvraient dans le Grand Appartement, le buste de Louis XIV et le Silène antique. Une réplique de cet escalier a été réalisée au château de Herrenchiemsee par Louis II de Bavière.
    • Dès l’achèvement des ailes des Ministres, on entreprit la construction des Grandes et des Petites Écuries. Les travaux se poursuivirent dans les jardins qui s’enrichissaient de statues et de nouveaux bosquets.
     1681 

    • Charles Le Brun acheva la décoration des Grands Appartements.
    • La machine de Marly commença à pomper l’eau de la Seine.
    • Les perspectives furent élargies.
    • Excavation du Grand Canal et de la pièce d’eau des Suisses.
    • Multiplication des bosquets ainsi que des fontaines dans les jardins au prix de longs travaux d’adduction d’eau. C’est ainsi que naissaient les jardins à la française. Les plus grands sculpteurs du temps décorèrent ces espaces avec des statues de marbre et de bronze.

    Versailles vit ainsi l’apogée de la société de cour. En y fixant les courtisans, Louis XIV transforma une noblesse belliqueuse et potentiellement rebelle en un groupe soutenant l’État, en la personne du roi. Le roi qui, dans son enfance, avait connu avec la Fronde les dangers d’un soulèvement de la noblesse, souhaitait protéger la personne royale et le gouvernement. Il s’appliqua à réduire la puissance et la fierté des nobles. Les moyens qu’il employa furent :En 1682, Louis XIV n’a plus la patience d’attendre la fin des travaux. La cour pressentit les projets du roi et feignit d’y croire. Pourtant, le 6 mai le roi quitte Saint-Cloud et s’installe définitivement à Versailles. Versailles devint officiellement la résidence du roi de France. Un contemporain décrivit les conditions dans lesquelles se déroula l’installation : « Le sixième de mai le Roi quitta Saint-Cloud pour venir s’installer à Versailles, où il souhaitait être depuis longtemps, quoiqu’il fut rempli de maçons, dans le dessein d’y demeurer jusqu’après les couches de Madame la Dauphine, qui fut obligée de changer d’appartement le second jour qu’elle fut arrivée, parce que le bruit l’empêchait de dormir. » Le roi s’installa dans une demeure en chantier où les travaux de décoration allaient bon train. La Galerie des Glaces était encombrée par les échafaudages de Charles Le Brun, et pour la traverser, il fallait emprunter un passage pratiqué entre les poutrelles.
    L’inauguration de l’aile du Midi a lieu.
    L’un des grands problèmes de Versailles sera toujours le logement des courtisans. Si Versailles est le symbole de la puissance de Louis XIV, il ne faut pas perdre de vue que ce n’est qu’à 44 ans qu’il s’y établit définitivement.


    • d’attirer les grands seigneurs à sa cour en leur distribuant ou en leur laissant espérer des honneurs, des titres, des pensions.
    • d’offrir aux plus importants des logements au château.
    • d’inspirer à ses courtisans le respect et élever une barrière à leur promiscuité.
    • de faire des courtisans des spectateurs assidus de sa grandeur.

    Le roi établit des règles d’étiquette rigoureuses et complexes, qui transformaient tous ses actes, même les plus quotidiens, en un cérémonial quasi sacré.
    Le roi et la reine avaient leur Grand et leur Petit Lever, leur Grand et leur Petit Coucher. Certaines personnes y étaient admises. Aux plus favorisés revenait l’honneur d’entourer le roi, derrière la balustrade qui isolait le lit du reste de la pièce, et de lui prêter rituellement assistance en lui présentant un vêtement. Toutes les circonstances de la vie étaient ainsi réglées, depuis la naissance des princes, qui avait lieu en public (ce qui évitait toute contestation de légitimité), jusqu’aux obsèques du roi régies par des coutumes immuables. Les rapports du roi avec les personnes admises à l’approcher connaissaient les mêmes solennités, qu’il s’agisse des réceptions d’ambassadeurs, des présentations de gentilshommes et de dames titrées ou de la réception des vœux et des félicitations.
    Pour rompre avec ce protocole, Louis XIV institua les « Jours d’Appartement » où trois fois par semaine, de 19 à 22 heures, les courtisans étaient admis dans le Grand Appartement. Dans différents salons étaient répartis des buffets, des tables de jeu, on pouvait écouter de la musique ou danser. Le roi s’y promenait sans que les seigneurs et les dames dussent se déranger de leur jeu pour le saluer. C’était un grand honneur, envié et disputé, que d’y être admis. C’est dans le même esprit que Louis XIV voulut se réserver, en faisant aménager les Petits appartements, une vie plus intime dans la seule compagnie de ses familiers, tels ses compagnons de chasse qu’il retenait souvent à dîner.
    Pour l’Europe, Versailles fut un témoignage de la puissance de la France et de Louis XIV.

    Entre 1685 et 1689, une véritable fièvre constructrice donna naissance :

    • à l’orangerie qui remplaça celle de Le Vau. Elle fournissait 3000 arbustes et 150 000 plantes florales chaque année.
    • aux écuries,
    • au Grand Commun,
    • à l’aile nord des courtisans.

    La construction des ailes Nord et du Midi prolongea le développement des façades de Mansart. Vus des jardins, les trois bâtiments distincts composaient un ensemble harmonieux. La façade se développait sur une longueur de 670 mètres. Les deux nouveaux bâtiments accueillaient les Princes et les courtisans, les écuries, les carrosses, les services généraux et le logement des domestiques. La grotte de Téthys fut détruite.

    Deux ans après l’installation de la Cour, 22 000 à 30 000 ouvriers (selon la disponibilité des régiments) et 6000 chevaux s’affairaient sur les différents chantiers de Versailles. On érigea une colline afin de porter les 680 mètres de longueur du château. Une forêt entière fut plantée. Jules Hardouin-Mansart coordonnait l’immense chantier. La facture totale s’élèvera à environ 80 millions de livres. En cas d’accident de travail, des dédommagements suivants furent prévus :

    • 30 à 40 livres pour un bras ou une jambe cassé,
    • 60 livres pour un œil crevé,
    • 40 à 100 livres pour la veuve en cas de mortalité.

    Le village de Versailles se transforma en véritable ville qui se construisait dans l’axe du château et des jardins. Les 5000 courtisans érigeaient en ville des hôtels où furent logés leurs serviteurs et leurs équipages. Des tavernes et des auberges contribuaient à l’animation de la ville dont la population, qui ne cessait de croître, atteindra 70 000 habitants à la veille de la révolution.

    En 1686, Le Brun achève la décoration de la galerie des Glaces. Les ambassadeurs du roi de Siam sont reçus à Versailles.

    Le roi, qui se lasse du Trianon de porcelaine, fait ériger en 1687 par Hardouin-Mansart, sur le même emplacement, un petit palais de marbre et de porphyre avec jardins, le Grand Trianon ; Louis XIV surveilla de si près les travaux qu’il semblait le véritable architecte du lieu.

    En 1689, dans le nouveau Versailles, l’accès aux appartements de la Reine se faisait par l’escalier de marbre, appelé l’escalier de la Reine. Le palier s’ouvrait dans les deux salles des Gardes du Corps, ensuite venaient l’Antichambre, le Grand Cabinet et la Chambre qui donnait dans le salon de la Paix. Cet ensemble se développait sur la façade sud de l’enveloppe de Le Vau.
    Les nouveaux appartements du roi se développaient autour de la Cour de Marbre. L’appartement officiel dit « Appartement du Roi » occupait les ailes sud et ouest du château de Louis XIII et l’« Appartement Intérieur » était installé dans l’aile nord. L’appartement du Roi se composait de sept pièces, la septième formant la jonction avec l’Appartement Intérieur. Au centre du château fut installé le salon du Roi (future chambre de Louis XIV), l’appartement se terminait par le cabinet du Conseil et le cabinet des Termes ou des Perruques (deux pièces situées à l’emplacement de l’actuel salon du Conseil).

    1683-1686 L’appartement des collections [modifier]

    En 1683, dans un appartement, interdit à toute personne non autorisée, les architectes et les décorateurs aménagèrent des salons et des cabinets destinés à recevoir des chefs d’œuvres et les collections du roi. Dans le Salon ovale, le Cabinet aux tableaux, le Cabinet aux coquilles on exposa toutes sortes d’objets d’art et de riches curiosités; les murs portaient des tableaux de la collection royale. Ces pièces faisaient partie de l’appartement des Collectionneurs qui se terminait par le cabinet des Médailles. D’après la description de Mademoiselle de Scudéry, ce dernier était éclairé par des lustres de cristal de roche et on pouvait y admirer :

    • des vases de grande taille garnis d’or et de diamants,
    • des bustes et des figures antiques,
    • une Nef d’or garnie de diamants et de rubis (c’est la grande Nef de Louis XIV qu’on voit peinte au plafond du salon de l’Abondance),
    • des porcelaines de Chine et du Japon,
    • des vases d’agate, d’émeraude, de turquoise, de jade, de girasol, de jaspe d’Allemagne et d’Orient, de pierre d’étoile, de cornaline, de crisolite,
    • des figures grotesques de perles, d’émeraude, de rubis et d’agate,
    • une grande quantité de vases de conques de perles,
    • des tableaux, des miroirs,
    • des statues d’animaux antiques,
    • un grand vase de jaspe dont la figure est une espèce d’ovale irrégulier qui servit au baptême de Charles Quint.

    Une partie de ces trésors fut transportée, par ordre de Louis XV, au cabinet des Médailles de la Bibliothèque de Paris, le reste fut dispersé pendant la Révolution. La galerie d’Apollon, au Louvre, a recueilli quelques très belles pièces des collections de Louis XIV : vases en cristal de roche ou en matières précieuses (jaspe, cornaline, etc.) ainsi que de petits groupes de bronze.

    L’année 1683 fut endeuillée par la mort de la reine Marie-Thérèse et par celle de Colbert. La surintendance des Bâtiments passera entre les mains de Louvois qui n’aime pas Le Brun et qui introduira Mignard à Versailles.

    En 1684, l’appartement des collectionneurs s’agrandit par l’annexion de l’ancien appartement de Montespan, transformé en une petite galerie que décora Mignard qui trouva dans cette galerie l’occasion de rivaliser avec Le Brun. Mignard peignit le plafond en s’inspirant du thème d’Apollon et de Minerve, il décora également les plafonds des deux petits salons de la galerie. Le sol était un parquet de bois précieux, les murs étaient tendus d’étoffes somptueuses. C’est dans cette pièce que Louis XIV exposa les pièces maîtresses de sa collection de tableaux. Comme cette collection de chefs d’œuvre était considérable, on accrochait les tableaux par roulement. Dans ce cadre précieux, le roi s’attardait à contempler la Joconde.

    1701 Les Nouveaux Appartements du Roi [modifier]

    1700, le duc d’Anjou, petit fils de Louis XIV, est proclamé roi d’Espagne et il prend le nom de Philippe V d’Espagne.

    1701, transformation des appartements du Roi. La chambre du Roi se place au centre du château. L’Antichambre des Bassan et la Chambre (de 1689) furent réunis pour former la Chambre à l’œil-de-bœuf. Ces pièces furent magnifiquement meublées et tendues d’étoffes très riches, les plafonds non peints formèrent de vastes calottes blanches. Tassinari Châtel

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24 septembre 2008 3 24 /09 /septembre /2008 11:41

Les alcanes sont des hydrocarbures saturés. C’est-à-dire qu'ils ne sont constitués que d'atomes de carbone (C) et d'hydrogène (H). Les alcanes se différencient des hydrocarbures insaturés (les alcènes, les alcynes, et les composés aromatiques) par le fait que les atomes ne sont liés que par des liaisons simples, ce qui donne un nombre maximal d'atomes d'hydrogène (d'où le nom de "saturé"). Les alcanes non cycliques possèdent donc une formule brute de la forme CnH2n+2n est un entier naturel.

Les premiers sont :

Méthane Éthane Propane Butane Pentane hexane heptane octane nonane décane undécane dodécane
CH4 C2H6 C3H8 C4H10 C5H12 C6H14 C7H16 C8H18 C9H20 C10H22 C11H24 C12H26

Et aussi :

pentadécane cétane pristane eicosane phytane tricosane sarkosane (Sarkosy est partout)
C15H32 C16H34 C19H40 C20H42 C20H42 C23H48 C30H62
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26 juin 2008 4 26 /06 /juin /2008 17:30
Pouvez vous me donner vos avis sur simcity 4
il faudrais que je sache si :
le jeu dans son ensemble est-il bien?
la prise en main est-elle facile?
est-il facile de gerer sa ville?
et d'autre question de se genre
merci de tout vos avis d'avance

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27 mars 2008 4 27 /03 /mars /2008 14:32

Le nombre d'or, habituellement désigné par la lettre φ (phi) de l'alphabet grec en l'honneur de Phidias, sculpteur et architecte grec du Parthénon, est le nombre irrationnel :

varphi = frac{1 + sqrt{5}}{2} simeq 1,618033988749894848204586834365... 


Dans un pentagramme inscrit dans un pentagone, les segments sont de trois types, correspondant à trois longueurs différentes : l'arête du pentagone extérieur a, celle du pentagone intérieur c, et celle du bras de l'étoile b. En outre, on peut identifier deux types de triangles isocèles élémentaires: des triangles de type aplatis, formés d'une base a et de deux côtés b; et des triangles de type pointus, formés d'une base c et de deux côtés b.

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10 décembre 2007 1 10 /12 /décembre /2007 09:12
Commando 2


Nous voici donc confronté aux forces du troisième Reich et posté sur le front pour devenir le fer de lance des troupes alliées. Le background de Commandos 2 ne rompt pas avec le précédent opus et s'efforce comme auparavant de mêler fiction et faits historiques au coeur d'une guerre sanglante. Le principe de jeu est bien entendu identique et nous retrouverons ici tous les ingrédients qui avaient fait le succès du premier titre et de son extension. Le tout a subi toutefois un sérieux ravalement de façade au cours des quatre ans de développement qu'il aura fallu pour nous livrer un titre aussi époustouflant. Commandos 2 ce sont donc de nouveaux personnages à diriger, de nouvelles interactions avec l'environnement des interventions à l'intérieur des bâtiments, des combats de nuit et bien entendu une foule de nouvelles possibilités. Comme précédemment c'est donc un titre totalement addictif que nous offre Pyro et qui se veut véritablement stimulant en dépit de son niveau de difficulté qui devrait en scotcher plus d'un.
Test Commandos 2 PC - Screenshot 23Des décors très travaillés.

C'est donc parti pour une dizaine de missions dans quelques neufs environnements différents, la variété est donc déjà présente à ce niveau mais se retrouvera bien entendu également dans les objectifs de missions qui s'avèrent beaucoup plus fouillés que dans la première mouture de Commandos. On dispose cette fois-ci de neuf personnages et s'il est permis de retrouver quelques figures marquantes déjà rencontrées auparavant, on découvre à l'occasion de cette suite Natasha qui use de ses charmes pour tromper l'ennemi ainsi que Paul le jeune voleur qui s'avèrera bien utile lorsqu'il s'agira de traverser un camp suspendu à des fils électriques ou encore lorsqu'il s'agira de dérober un objet au nez et à la barbe des allemands. Mais c'est également une foule de nouveaux objets qui font leur apparition. Les armes sont plus variées et on découvre les joies du cocktail Molotov, des charges à télécommandes mais également de quelques surprises comme le rat du voleur très utile pour distraire l'ennemi ou encore le chien qui devrait rendre quelques loyaux services. Bref, de nombreuses nouveautés qui comprennent également de multiples possibilités d'interactions avec l'environnement qui devient un terrain de jeu encore plus attrayant. Il est désormais possible de faire les poches de chaque ennemi tué ou carrément de lui retirer ses vêtements, on grimpe aux poteaux électriques, on utilise des cisailles pour passer les barbelés ou encore un chalumeau pour réparer ou créer certains objets. Difficile d'être exhaustif et de faire le recensement complet de tout ce qu'apporte de nouveau ce Commandos 2 mais toujours est-il que les fans du premier opus devraient devenir encore plus mordus avec ce second volet.

Test Commandos 2 PC - Screenshot 24L'apparition de missions de nuit.

Au niveau des commandes on note quelques variations qui ne déstabiliseront toutefois pas les joueurs. Des ordres contextuels deviennent désormais possibles en fonction des situations et des compétences des commandos en présence et il est même possible d'afficher toutes les actions possibles sur les objets. Inutile de dire qu'une fois encore il faudra faire fonctionner ses méninges, les « Gros Bill » devront ici passer leur chemin. La progression est lente, risquée et fera l'objet d'une minutie toute particulière. En découle bien évidemment un niveau de difficulté particulièrement balaise même dans le mode le plus facile qui se voit accompagné d'un mode réaliste et d'un mode difficile ( prise de tête assurée ). Reste à signaler qu'il arrive que l'on rencontre quelques difficultés à déclencher certaines actions au début et même les joueurs ayant bien largement pratiqué le premier titre devraient ici perdre leurs marques durant les premiers pas dans ce jeu.

Test Commandos 2 PC - Screenshot 25De nombreux effets.

Au niveau des graphismes, Commandos premier du nom a droit à un sacré lifting. Plus de détails une résolution plus importante mais surtout un nouveau moteur 3D qui permettra de faire des rotations incroyables de la caméra pour profiter des somptueux environnements mais également prendre connaissance de toutes les subtilités que recèlent les différentes cartes. Les zooms sont également permis et on découvrira pour la première fois des missions de nuit mais surtout la possibilité de rentrer dans les bâtiments pour faire autre chose que s'y cacher. Il est désormais possible d'y effectuer des actions et de visiter ainsi de nombreuses maisons. Les animations sont quant à elles particulièrement soignées et quelques effets accompagnent désormais un certain nombre d'actions. Côté sonore c'est la cerise sur le gâteau puisque si les musiques sont tout bonnement ahurissantes par l'ambiance qu'elles parviennent à restituer et bien entendu par leur qualité, les effets sons et les voix sont eux aussi à mourir.

En bref, les accros de Commandos premier du nom ne devraient pas hésiter une seule seconde à se procurer ce titre alors que les autres trouveront ici une excellente occasion de se frotter à un titre difficile mais d'anthologie. Commandos 2 balaye tout sur son passage pour devenir sans conteste la nouvelle référence de sa catégorie.

Commando 3

Ayant droit au sous-titre Destination Berlin, vous vous douterez bien que ce Commandos 3 renoue avec ses aînés pour ce qui est du background. Les objectifs se déroulent toujours pendant la seconde guerre mondiale et ce au travers de missions se passant sur 3 campagnes. Ces missions seront de plusieurs ordres comme détruire des camps nazis tenant lieu de surplus militaire, saboter du matériel, éliminer un haut dignitaire allemand, etc. Les cinéphiles remarqueront d'ailleurs qu'une des campagnes, Stalingrad, commence avec une mission faisant écho au somptueux film de Jean-Jacques Annaud, Stalingrad (Enemy At The Gates), lui-même inspiré de faits réels. Pour rappel, ce long-métrage nous narre l'aventure d'un jeune sniper russe Vassili Zaïtev confronté au meilleur tireur d'élite de l'armée allemande, le major Konig (joué par un charismatique Ed Harris, on s'incline s'il vous plaît). Bref, l'ambiance est une fois de plus incroyable, magnifiée par des décors qui tiennent plus de l'oeuvre d'art que du simple écran de jeu !

Test Commandos 3 : Destination Berlin PC - Screenshot 46Même en tant que béret vert, je doute que vous fassiez le poids face à ce tank !

On est un peu déçu de voir que de neuf personnages dans Commandos 2, nous passons à seulement 6 membres avec bien sûr les figures connues que sont Jack O' Hara le béret vert, René Duchamp, l'espion ou James Blackhood le plongeur. En sus des trois compères, vous dirigerez également un sniper, un voleur et un artificier. Bref, à ce niveau on est en terrain connu. Vous pourrez aussi contrôler au cours des missions des personnages alliés qui sont regroupés sous 6 types différents : soldat, mitrailleur, parachutiste, fusilier, grenadier et artilleur, et qui ne pourront jamais tomber à court de munitions, ce qui s'avérera très pratique. Pour le reste, vous devrez faire preuve de beaucoup de tact pour mener à bien vos objectifs. Ici, c'est bien la réflexion qui va primer avant tout. Vous devrez constamment prendre en compte votre environnement pour arriver à vos fins. Vous devrez monter à un mur pour atteindre une planque en hauteur pour viser vos ennemis, là vous serez obligés de ramper sous une rangée de camions pour vous retrouver derrière une sentinelle et lui trancher la gorge, etc. En fonction des challenges, on vous dépêchera les membres les plus à même de remplir les objectifs. Là encore, on sent tout de suite que Commandos 3 ne cache en rien son côté « actionner » puisque dans la plupart des cas seuls deux soldats pourront être dirigés contre 6 membres à certains moments dans les précédents opus. Il n'empêche que le jeu est toujours aussi difficile, un peu trop même et si vous n'avancez pas prudemment vous vous retrouverez vite à six pieds sous terre. A ce sujet sauvegardez très souvent !!

Test Commandos 3 : Destination Berlin PC - Screenshot 47Le tutorial, bien que manquant d'informations, est joliment mis en scène.

Commandos 3 propose autant de possibilités que ses prédécesseurs. De nombreuses armes seront à votre disposition (fusil, couteau, pain de plastique, cocktail molotov, pistolet mitrailleur, seringue hypodermique, bazooka, corde de piano...), vos soldats auront tous des capacités spécifiques (l'espion pouvant se déguiser, le plongeur utilisant un grappin pour atteindre des endroits en hauteur, le voleur escaladant les murs, le sniper pouvant tirer depuis un poteau, etc.) et ceci sera bien sûr à exploiter pour réussir vos missions. En plus de faire mumuse dehors, la possibilité de rentrer dans les bâtiments vous sera toujours donnée. A se rappeler si par exemple vous vous retrouviez acculé par l'ennemi et qu'une fenêtre salvatrice vous tend les bras vous invitant à prendre congé de vos hôtes indésirables.

Test Commandos 3 : Destination Berlin PC - Screenshot 48Dès le départ, la difficulté sera bien présente.

Inutile de tergiverser sur les graphismes de Commandos 3, les espagnols de Pyro Studios étant passés maître dans l'art de nous concocter de véritables oeuvres d'art. Pour tout dire, on ne cesse de se décrocher la mâchoire en parcourant le soft. Les environnements sont variés, magnifiques, le jeu est truffé de petits détails qui font toute la différence, et les conditions climatiques nous jettent dans un monde virtuel criant de réalisme. Mais l'aspect artistique ne s'arrête pas là puisque la bande-son est au moins aussi peaufinée que l'aspect esthétique. Les doublages français sont de très bonne facture (même si les commentaires de vos hommes irritent un peu au bout d'un moment), les bruitages sont surprenants et achèvent complètement le joueur qui rien qu'à entendre le bruit de la pluie drue qui s'acharne sur ses hommes aura l'impression d'être mouillé à son tour.

Test Commandos 3 : Destination Berlin PC - Screenshot 49Rappelez-vous des conseils du grand-père de Vassili et appuyez sur la gâchette.

Question interface, le tout se veut simplifié par rapport à Commandos 2 même s'il est dommage que la barre des tâches rogne pas mal le bas de l'écran. Vous pourrez en deux clicks échanger vos objets avec votre camarade, pour peu qu'il soit près de vous, changer d'armes en un clin d'oeil, distinguer facilement les ennemis et leur champ de vision, assommer (ou tuer) une sentinelle et la ligoter... Pour plus de facilité vous pourrez aussi afficher via plusieurs fenêtres l'endroit où se trouvent vos hommes, une constante ceci dit dans la série. Par contre bien qu'on puisse zoomer ou naviguer entre quatre angles de vue, il est déstabilisant en pleine action de changer d'angle, cette action étant un peu sèche dans son déroulement et cachant de plus certaines parties de décor ou votre homme, arf. Je pense que vous le savez mais vos hommes devront constamment courir, ramper, monter des échelles, nager, se cacher dans des coins sombres pour éviter leurs ennemis, et oui la vie de soldat n'est vraiment pas une partie de plaisir.

Test Commandos 3 : Destination Berlin PC - Screenshot 50Faites les poches des nazis pour prendre leurs vêtements ou tout autre objet.

Si Commandos 3 : Destination Berlin mise un peu plus sur l'action en nous donnant uniquement deux ou trois membres à diriger en même temps, il n'en demeure pas moins un somptueux titre d'action/infiltration destiné avant tout aux amoureux de la série de part une difficulté qui découragera à n'en point douter les joueurs désireux de s'initier au genre. Une réalisation technique éblouissante, une durée de vie conséquente grâce notamment à un mode multijoueur où 12 combattants peuvent participer, tout ceci au service d'un titre qui reste plus que jamais corsé dans sa progression mais tellement captivant à explorer !

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